











Discovery Sport : une allure raffinée et une pointe d’assurance
Discovery a compris que si l’on possède déjà un véhicule familial, autant y ajouter une touche de luxe – et pourquoi pas donner l’impression qu’il pourrait gravir le Mont Blanc chaussé de pneus été. Résultat : la gamme s’offre un lifting, accompagnée de deux séries spéciales baptisées Metropolitan et Landmark, des noms qui évoquent des quartiers résidentiels avec vue.
Le nouveau fleuron, la version Metropolitan, attire tous les regards grâce à ses inserts chromés, ses détails argentés et ses jantes de 20 pouces gris foncé. À l’intérieur, les sièges se règlent dans toutes les positions imaginables et le système audio semble assez puissant pour couvrir les caprices des enfants à l’arrière. Le système de climatisation et de purification d’air promet, lui, un habitacle qui ne sentira plus le chien mouillé après une sortie à la plage.
L’édition Landmark joue la carte de la nostalgie, exhibant fièrement le logo Discovery de 1989 et projetant une silhouette de montagne au sol à l’ouverture des portes. Les passagers arrière peuvent installer tablettes et accessoires de divertissement, histoire d’éviter la crise d’ennui.
La version Dynamic S mise tout sur l’apparence, avec une calandre noire, des inserts brillants et une posture plus sportive. Côté écrans, la discrétion n’est pas de mise : écran central de 11,4 pouces et combiné d’instruments numérique garantissent au conducteur de ne jamais s’ennuyer, même dans les embouteillages.
De nouveaux packs d’accessoires aux noms évocateurs – Beach Days, Road Trip et Snow Days – font leur apparition. Autrement dit : l’un pour affronter le sable, l’autre pour entasser les bagages, le dernier pour fixer les skis sur le toit. Chacun comprend les indispensables tapis en caoutchouc, supports et eau pétillante bien fraîche.
Sous le capot, le choix se porte sur un hybride rechargeable ou un hybride léger – ce dernier privilégie l’efficacité, mais reste assez sage en sensations. L’autonomie en électrique avoisine les 60 kilomètres, de quoi afficher une conscience écologique lors des trajets urbains.